Fini de piquer le snood du Lieutenant. Maintenant j’ai le mien à moi toute seule !
Pourquoi « granité mangue et marrons glacés » ? Pour faire un clin d’oeil à mon Capitaine Haddock adoré qui se fiche de moi parce que j’utilise des mots poétiques pour désigner les couleurs : le rouge devient « coquelicot », le vert se décline en « sapin », « kiwi » ou encore « menthe à l’eau », et « mandarine » remplace le bien trop prosaïque orange (les modeuses vont jusqu’à remplacer « mandarine » par « tangerine », mais je n’en suis pas encore là).
Que dire du « taupe » que j’emploie systématiquement pour désigner toute couleur inqualifiable mêlant des nuances de gris et de brun.
Ce phénomène serait typiquement féminin…
La parlotte aiguë, un autre phénomène (syndrome ?) typiquement féminin.
Il paraît que la langue inuit compte près de vingt termes pour désigner la couleur blanche… « Nuage de lait », « poudre d’albâtre », « matin froid d’hiver »… Y’en a un qui va encore bien rigoler !
Pour le tuto du snood, c’est ici.
Ah de la couleur en plein hiver ! J’adore !!!
C’est vrai qu’un peu de couleur en hiver ça fait du bien, ça réchauffe!
Ton snood est vraiment super, j’adore les couleurs choisies!
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