Les patrons Burda n’ont pas de nom et c’est bien dommage. Vous admettrez que « Robe n°110 » ça n’est pas très poétique, alors pourquoi ne pas baptiser ce modèle « Diane » ? En effet, qui dit robe portefeuille dit Diane Von Fürstenberg, sexytude, femme fatale et tutti quanti !
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Une petite plongée dans les seventies, ça vous dit ?
Aujourd’hui je fais péter le polyester ! Oh ça va hein, les puristes là… Ah ben oui, je sais, le polyester c’est mal, c’est vilain, c’est pétrole… Oui, mais c’est aussi 70’s et moi j’adoooooore les 70’s !
Lire la suiteAujourd’hui je vais vous présenter deux pièces, une cousue main et une autre achetée en friperie. C’est l’occasion de faire une petite place ici à une autre de mes passions, le vintage.
La chemise est le modèle Elsa La Maison Victor (n°5 septembre-octobre 2016). J’en avais déjà fait une première version en double gaze à pois dorés que j’aime beaucoup. Pour cette pièce, j’ai utilisé un tissu vintage, une broderie anglaise à petits motifs du début des années 80. Il s’agit d’un « héritage » familial (si jamais y’a un lingot d’or qui traîne quelque part, ou un Monet planqué dans le grenier, je suis preneuse aussi).
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Certains se demanderont probablement si je suis tombée sur la tête, mais non je vous assure, tout va bien. J’ai juste décidé de me coudre une blouse années 80. Pas une blouse inspirée des années 80, auquel cas, on ne parlerait pas de couture vintage mais bien de couture rétro. Non non, un véritable et authentique modèle venu tout droit des eighties.
Allez c’est parti, on fait péter les épaulettes !
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Je reçois régulièrement des tissus de la part d’anciennes couturière, oubliés depuis de longues années dans des garages ou des greniers. Chanceuse que je suis ! Parmi ceux-ci, un très beau coupon de coton bleu à motif fleurs roses et blanches.
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Je n’ai jamais porté de jupe mi-longue de toute ma vie. Comme je suis petite, je me suis toujours dit que ça ne m’allait pas. En plus de ça, ce n’était pas vraiment tendance jusqu’il n’y a pas si longtemps. Pendant mon adolescence, dans les années 2000 (oui ça commence à dater), la jupe mi-longue était un peu connotée « Tata Georgette ». C’était pas le comble de l’élégance. Remarque, le survet en peau de pêche et les Buffalos non plus, mais c’est facile de dire ça aujourd’hui avec 20 ans de recul.
Voilà un titre bien étrange pour deux petites robes de poupées. Occupons-nous d’abord de la première moitié du titre, la deuxième viendra après.
Couverture de la revue « La Femme de France » du 23 janvier 1927… Miaou miaou !!!
Une petite « vintagerie », ça faisait longtemps ! Après la jupe 70’s, le couverture de magazine de couture 20’s.
J’ai comme l’impression que ça passerait nettement moins bien aujourd’hui…
Bonjour à tous ! Après une semaine de silence (boulot, boulot, boulot… et encore boulot !), me revoilà avec une tenue de mariage automnale.
Quand une de vos meilleures amies se marie et que l’amie en question est une modeuse accomplie capable de faire la différence entre des derbies, des salomés et des richelieu, vous ressentez une certaine pression quant au choix de votre tenue.
Comme je n’aime pas l’idée de coudre un vêtement uniquement pour une occasion, j’avais envie de quelque chose que je pourrais reporter dans d’autres circonstances. J’ai donc jeté mon dévolu sur la robe June du magazine La Maison Victor (n°3). Et comme en octobre en Belgique il peut faire assez froid, j’ai cousu une petite veste pour compléter la tenue. Il s’agit du modèle H du livre Dressing Chic.
Robe June, Veste Dressing Chic, escarpins bijoux New Look, pochette en cuir rose vintage.
laissons Lucie Faire 