Créations et Savoir-faire

En règle générale, le fait de devoir me lever à 5h du matin un dimanche à de quoi me rendre de fort méchante humeur. Mais quand il s’agit de sortir de mon lit aux aurores pour sauter dans le Thalys direction le salon Créations et Savoir-faire, c’est autre chose !

Voilà mon butin :

♦ Une gabardine de coton Les Trouvailles d’Amandine coloris taupe et son biais assorti. Un petit indice sur leur future utilisation : Pavot (oui OK, c’est facile…)

♦ Un jersey vert France Duval Stalla trop beau et trop doux. Indice : Elisa (aaaaaah… c’est plus compliqué, hein !…)

♦ Le patron Mirage de Aime comme Marie. Vivement l’été ! (Ben quoi, on a bien le droit de rêver quand même !)

Et voilà ! C’est raisonnable non ? D’autant plus que les merveilles ne manquaient pas. Voilà d’ailleurs quelques-uns de mes coups de cœur, photographiés péniblement parmi la jungle folle furieuse en délire l’assistance pour le moins dense et agitée.

♦ Un joli oiseau coloré en papier.

♦ Les origamis revisités façon cabinet de curiosités de Florigami. Les araignées et les papillons sont épinglés dans des cadres façon « entomologie » et les bébêtes exotiques prennent place sous de jolies cloches de verre.

♦ Quelques bonnes idées pour utiliser mes rouleaux de washi tape. Mention spéciale pour ce cadre réalisé en morceaux de pailles décorées de papier.

♦ Un bien joli gâteau. Dommage que la pâte à sucre ne me plaise pas gustativement parlant, parce qu’esthétiquement, je suis fan !

♦ Encore des origamis.

♦ Des luminaires en papier trop jolis.

C’était vraiment chouette de pouvoir découvrir autant de merveilles et de rencontrer tous ces créateurs (qui sont quand même en majorité des créatrices, précisons-le) de talent.

Et quelle ne fut pas ma joie quand lors de mon passage sur le stand Deer and Doe, Eléonore Klein a repéré la petite robe Sureau que je portais… m’a complimentée, oui oui, j’ai bien dit COMPLIMENTÉE… et m’a demandé si elle pouvait me photographier, enfin, photographier ma robe, parce que c’est surtout ça qui l’intéressait évidemment. C’est donc les joues rosies par le plaisir que j’ai vaillamment pris la pose avec tout le naturel dont je suis capable (han han…) entre trois bousculades et deux écrasages de pied… la jungle je vous dis !

A part ça, je couds, mais pas autant que je voudrais. Mon boulot, mon vrai boulot, celui qui me permet de payer mes factures et d’acheter du tissu, me prend pas mal de temps et d’énergie pour le moment. Mais je vous reviens très vite avec du neuf. Au programme : lainage noir et 12 mètres de biais…

A bientôt !