Mélilot

Une petite couture facile sans prise de tête, de temps en temps, ça fait du bien. Après m’être arraché les cheveux à coudre des matières improbables, j’avais besoin d’un peu de simplicité.

Cette chemise Mélilot s’est révélée le projet parfait puisqu’elle n’est vraiment pas compliquée à réaliser. Et c’est donc en une après-midi que j’ai emballé l’affaire (j’avais décalqué le patron et coupé le tissu au préalable, quand même).

Pendant longtemps, j’ai rejeté fermement les chemises à manches courtes. Trop Hervé Dumont à mon goût…

Mais ça, c’était avant ! Depuis, il y a eu la blouse Maya, que j’ai portée tout l’été, et maintenant la Mélilot que j’ai déjà portée quelques fois aussi depuis que je l’ai cousue. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis.

Après les papillons de lumière de la Maya, j’ai à nouveau craqué pour un imprimé, un peu « savane » cette fois-ci (on reste dans le thème animalier), avec un mélange de beige clair et de mauve.

Les boutons m’ont coûté le même prix que le tissu. Généralement, j’essaie au maximum d’utiliser des boutons de récup parce que ce genre de petit article de mercerie coûte très cher neuf. Mais ici, j’avais envie de quelque chose qui « claque » un peu, et il me fallait 11 boutons identiques. Et bien entendu, ce sont les boutons les plus chers qui allaient le mieux avec mon tissu. Fichus goûts de luxe ! Ça me perdra…

Je vous fais de gros bisous et vous donne rendez-vous la semaine prochaine (j’ai décidé d’être un peu plus assidue).

Chemise Mélilot Deer and Doe version B
Coton imprimé Les Tissus du Chien Vert (fluide, léger et presque infroissable, une très belle découverte, et je précise que je ne suis pas sponsorisée)
Boutons Veritas