Bonjour à tous. J’espère que vous allez bien et que vous tenez le coup ! *
Aujourd’hui, je vous propose un peu de couleur et un peu de futilité. Ça ne peut pas faire de mal. Et y’a-t-il quelque chose de plus futile qu’un déguisement ? Lire la suite
Bonjour à tous. J’espère que vous allez bien et que vous tenez le coup ! *
Aujourd’hui, je vous propose un peu de couleur et un peu de futilité. Ça ne peut pas faire de mal. Et y’a-t-il quelque chose de plus futile qu’un déguisement ? Lire la suite
Pandémie oblige, je vais aujourd’hui vous faire un petit billet sur un sujet bien d’actualité, les masques en tissu. Pas très fancy fancy comme thème… On sortira les paillettes un autre jour.
Avant la naissance de mes filles, j’étais au courant de toutes les sorties patrons, je pouvais reconnaître tous les modèles au premier coup d’œil, j’étais incollable. Mais ça, c’était avant. Aujourd’hui, je n’ai plus beaucoup de temps pour surfer en ligne, faire défiler mon fil Instagram et donc me tenir au courant des nouvelles sorties. Et c’est comme ça que je suis passée à côté de la marque Damn Good Caramel.
Je n’ai jamais porté de jupe mi-longue de toute ma vie. Comme je suis petite, je me suis toujours dit que ça ne m’allait pas. En plus de ça, ce n’était pas vraiment tendance jusqu’il n’y a pas si longtemps. Pendant mon adolescence, dans les années 2000 (oui ça commence à dater), la jupe mi-longue était un peu connotée « Tata Georgette ». C’était pas le comble de l’élégance. Remarque, le survet en peau de pêche et les Buffalos non plus, mais c’est facile de dire ça aujourd’hui avec 20 ans de recul.
Je m’étais dit que je ne coudrais pas de manteau cette année. J’en couds un par an depuis 4 ans et mon premier caban moutarde. Ça commence à faire beaucoup. Mais voilà, on ne guérit pas de collectionnite aiguë si facilement. Le chemin du minimalisme est tortueux ! J’ai replongé.
Je vous présente aujourd’hui trois pièces très simples, tellement simples que j’ai même hésité à vous les montrer parce que je me suis dit que ça ne valait peut-être pas la peine. Quelle introduction ! Voilà qui donne envie de poursuivre sa lecture !
Petite plongée dans la garde-robe de Cracotte.
La demoiselle adore les robes et il est difficile de lui faire porter autre chose. Les premières pièces que j’ai cousues pour elle au début de l’automne sont donc deux robes, réalisées à partir d’un patron Burda. Il s’agit du modèle n°138 de l’édition de novembre 2013. La première est en chambray imprimé, la deuxième en tissu mélangé moutarde. Lire la suite
Après une longue et nécessaire pause d’été, me voilà de retour avec ma seule couture estivale (la seule pour moi, Cracotte a été très gâtée pour sa part). Je couds peu de vêtements d’été pour moi. J’ai quelques pièces que j’aime beaucoup et ça me suffit puisque les étés sont courts en Belgique. Inutile d’accumuler les jupes et les petites robes légères qu’on a finalement peu l’occasion de porter. (Qu’est-ce que je deviens
chiante raisonnable avec les années !) Lire la suite
Il y a plusieurs années, j’ai cousu mes premiers pantalons, deux jeans que je vous avais montrés ici et ici. Je les ai beaucoup portés, été comme hiver, et il ne s’est pas passé une semaine sans qu’ils se retrouvent dans mon panier à linge. Malgré ça, ils ont tenu 5 ans, ce qui n’est pas rien. Et puis ils ont lâché en même temps : trou au genou pour l’un, à l’entre-jambe pour l’autre. Tout ça un peu après la naissance du Doubitchou.
Je ne couds pas beaucoup pour moi ces temps-ci. Voilà plus de trois mois que je n’ai posté aucune réalisation destinée à ma petite personne. Manque de temps, petits projets pour les poupettes… Ceci explique cela. Même le Lieutenant se met à me passer des commandes, c’est la fin des haricots !
J’ai quand même réussi à glisser un petit projet pour moi dans ce planning de fou, histoire de ne pas m’oublier complètement (dixit celle qui n’est plus allée chez la coiffeuse depuis septembre dernier). Le pantalon Harper était au sommet de ma To Do liste depuis longtemps. J’ai flashé sur ce modèle dès sa sortie mais j’étais enceinte à l’époque et j’ai donc dû me résoudre à postposer quelque peu la chose. Lire la suite